Une grande invitation à s'ouvrir au monde de l'Afrique Noire et de sa culture, tel est le contenu en résumé de Black Africa Mix qui invite à aller à la découverte des modes d'expression artistiques africains, dans la ville d'Agen.
En consacrant 2010, Année Afrique Noire, la ville d'Agen, commune française située dans le Lot-et-Garonne, s'inscrivait dans l'optique de s'ouvrir au monde de l'Afrique et de sa culture. C'est ainsi que des hommes, des femmes, des associations, des partenaires culturels, ont fédéré leurs forces dans une dynamique de découverte des modes d'expression artistiques africaines. Aussi, un chantier artistique d'envergure a été mis en place depuis le mois de juillet et se poursuit encore. Ainsi, après l'exposition «Mosaïque Africa» qui s'est tenue à l'espace culturel de la Mutuelle Oreade, l'animation cinématographique sur les «Regards de femme» au Musée des Beaux-Arts de la commune, et les ateliers «Africa-Mix, le grand chantier» autour des modes d'expression artistiques africains notamment, les masques, les parures, les statues, les fétiches, les reliquaires, les sièges et trônes, les costumes, les instruments de musique, les motifs, le programme se poursuit encore. Et pour le mois en cours, le public d'Agen a eu droit à plusieurs projections sur «Jean Rouch et sa caméra», sur «Les tribulations de Frère Jero» de Wole Soyinka, 1er auteur noir africain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Cette dynamique engendrée par le concept Black Africa Mix (Bam), préfigurant pour longtemps encore, une large découverte de l'Afrique Noire, une exposition unique des arts de l'Afrique de l'Ouest a été initiée par les organisateurs qui invitent à percer le mystère des arts et cultures du continent noir. Intitulée donc, «Arts et traditions d'Afrique: du profane au sacré», ladite expo événement qui se tient jusqu'au 15 novembre 2010, réunie pas moins de deux cent cinquante objets (anciennes, grandes pour la plupart).Accompagnées de photos inédites et de reportages contemporains, l'exposition propose de découvrir alors, la dimension culturelle, religieuse et sociale des œuvres présentées, avec leur grande variété de formes, de couleurs.
Pour rappel, Black Africa Mix a débuté depuis le mois de janvier de l'année en cours avec, une résidence d'artistes autour du thème de l'Afrique, de l'écologie et du développement durable. Des ateliers «beauté d'Afrique », «danse africaine » et de poterie ont pu se tenir aussi, grâce à la magnanimité d'animateurs dont l'objectif principal était de faire découvrir aux participants, les coutures, les coiffures, les percussions, la danse, les œuvres africaines.
Ce grand événement culturel agenais a également été agrémenté par les soirées musicales, les concerts et autres animations par de jeunes joueurs de tama (petit instrument de percussion traditionnel bien maintenu sous les aisselles avec un son très régulé, très finement), venus tout droit du pays de la Téranga.
Mamy SY
Pour rappel, Black Africa Mix a débuté depuis le mois de janvier de l'année en cours avec, une résidence d'artistes autour du thème de l'Afrique, de l'écologie et du développement durable. Des ateliers «beauté d'Afrique », «danse africaine » et de poterie ont pu se tenir aussi, grâce à la magnanimité d'animateurs dont l'objectif principal était de faire découvrir aux participants, les coutures, les coiffures, les percussions, la danse, les œuvres africaines.
Ce grand événement culturel agenais a également été agrémenté par les soirées musicales, les concerts et autres animations par de jeunes joueurs de tama (petit instrument de percussion traditionnel bien maintenu sous les aisselles avec un son très régulé, très finement), venus tout droit du pays de la Téranga.
Mamy SY
